Lévy-Leblond reproche aux auteurs d’invoquer le second principe de la thermodynamique, selon lequel l’information se dégrade irrémédiablement. Mais la véritable erreur de ces auteurs est d’avoir fait confiance à la cosmologie officielle défaillante. En effet, pour éviter la déchéance, le plus simple est l’évacuation : la récession galactique est ainsi justifiée, de manière autrement plus élégante que l’expansion de l’univers. Mais, pour maintenir une densité constante, il faut introduire une CREATION PERMANENTE de matière fraiche, donc le neutron, qui génère le proton et l’électron plus de l’énergie.
On est donc obligé de faire appel au divin : la physique atteint sa limite. Autrement dit, le bon sens le plus élémentaire a échappé à un siècle de formalistes. Pas étonnant qu’ils aient raté le principe zéro qui donne 13,8 milliards d’années-lumière, ce qui correspond à la constante de temps de 13,8 milliards d’années, qui n’est donc pas l’âge de l’univers mais la période cosmique. En moyenne, c’est pendant ce temps qu’apparaît un NOUVEAU NEUTRON dans le volume d’un couple d’humains adultes. C’est la meilleure preuve du principe anthropique, que chacun peut vérifier (holophysique.free.fr).
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The Triumph of Elementary Physics and Engineering in Cosmology
The Triumph of Elementary Physics and Engineering in Cosmology
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